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Cauda bougresse
 
J’avais dévalisé ses seins son corsage derrière un bosquet
Les haies les champs les bois tout respirait le coït coquet
Ma main fouillait entre ses deux grosses cuisses fleuries
Parmi les lilas les roses l’œillet de chat et les fourmis

Les fleurs parlaient la même langue que son con juteux
Que j’avais entrepris vivement sur le tapis mousseux
Un carré de verdure où  je la déchirais bandant fou
De désir féroce foutre et jouir de la baiser partout

Aussi parmi tant de beautés salopes pourquoi s’en tenir
Au con ? je la retournais ah quel cul ! et l’entendis hennir
Quand je l’enfilais méchamment par l’orifice ce trou
Du bonheur enfin libéré de tous ses tabous

C’était la première fois, hmmm, me dit-elle
Qu’on la prenait par ici ! ah frileuse hirondelle
Allais-je lui répondre remettre ça plein d’aimable tendresse
Qu’elle avait déjà filé toute nue libre la bougresse !
© Jacques Cauda