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« Chacun son goût qui le mène »

On ne saurait voir en cet ouvrage
La promotion sociale d'une humaine rage
Avec pour visée l'abandon de la femme
Mais la rencontre singulière corps et âme
Libre, choisie, épanouie de deux êtres
Explorant le sexe pour leur bien-être

Espace de jeux, miroir de tous temps
Cul-ture mise à nu, anhistorique
Où l'objet du désir prend alors tout autant
La forme d'une vulve que celle d'une trique

Le propre du tout étant le mélange
En son sein du diable & de l'ange
De l'un qui amène l'autre, comme
De la femme peut naître l'homme

Pour qu’il n’y ai dialogue de sourds
Que les cris de rage résonnent amour
Plongez complices en nos inter-dictions
Et nos silences connexes, transgressions...