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Jeanne dont les yeux...

François Maynard
Jeanne dont les yeux m'ont vaincu
Cesse de rougir et de craindre :
Le feu d'amour brûle ton cul
Et mon vit a de quoi l'éteindre.

 

Il faut donner dans le plaisir
Tu n'auras que trop de loisir
De faire la prude et la chaste.

 

Les ans raviront tes appas,
Et ton con deviendra si vaste
Que les mulets n'en voudront pas.

Cité in La poésie érotique (Marcel Béalu, Ed. Seghers, 1974) - p. 110

in Les Priapées (Réédition Jules Gay, 1864)