Ta chambre est endormie dans la pénombre,
Par les volets clos, la brise d'été
Rafraîchit ta peau. Ton corps excité
Par mes deux mains se tortille dans l'ombre.
Pour être bien certain que je te prenne
Comme je le veux, les fesses en l'air,
Le meilleur, c'est la caresse d'enfer
Qui te fait frémir, effleurant à peine
Ces endroits secrets que je connais bien,
Quand ton petit jardin devient humide.
J'en approche l'orée, d'un doigt timide,
La douceur des doigts, je sais, tu y tiens,
Pas question d'incursion intempestive,
Ce toucher délicat te rend lascive !
Ta chambre endormie dans l'été indien,
Tu rends à mon vit un doux hommage
Et la bouche en o, tu vas et tu viens.
Il fait si doux, il fait chaud, on est bien.
Soudain, je sens venir, du fond des âges
La nécessité de l'accouplement,
Je me relève, sais que tu es prête,
À moi, gentiment, t'offres en levrette.
Je te baise et tu gémis, tendrement.
Par les volets clos, la brise d'été
Rafraîchit ta peau. Ton corps excité
Par mes deux mains se tortille dans l'ombre.
Pour être bien certain que je te prenne
Comme je le veux, les fesses en l'air,
Le meilleur, c'est la caresse d'enfer
Qui te fait frémir, effleurant à peine
Ces endroits secrets que je connais bien,
Quand ton petit jardin devient humide.
J'en approche l'orée, d'un doigt timide,
La douceur des doigts, je sais, tu y tiens,
Pas question d'incursion intempestive,
Ce toucher délicat te rend lascive !
Ta chambre endormie dans l'été indien,
Tu rends à mon vit un doux hommage
Et la bouche en o, tu vas et tu viens.
Il fait si doux, il fait chaud, on est bien.
Soudain, je sens venir, du fond des âges
La nécessité de l'accouplement,
Je me relève, sais que tu es prête,
À moi, gentiment, t'offres en levrette.
Je te baise et tu gémis, tendrement.
© Jorge