Il fut un soir, lors d'une insouciante ballade,
Un soir d'été, je flânai près de Notre-Dame ;
Tombant sur un mirage dans ma promenade :
Ta robe en mousseline sur ton corps de femme.
Nous ne nous connaissions pas mais dans ton regard,
Brûlaient ces mille feux qui rendent l'homme ardent.
Aussitôt, je brisai chacun de tes remparts
Et je glissai ma main entre tes seins dardant
Des tétons lourds et durs gonflés entre mes doigts
Tandis que mes baisers fouinaient ta gorge blanche
Que tes cuisses s'ouvraient au branl'-bas de combat.
Pour mieux frotter mon vît, tu remuais tes hanches.
Un soir d'été, je flânai près de Notre-Dame ;
Tombant sur un mirage dans ma promenade :
Ta robe en mousseline sur ton corps de femme.
Nous ne nous connaissions pas mais dans ton regard,
Brûlaient ces mille feux qui rendent l'homme ardent.
Aussitôt, je brisai chacun de tes remparts
Et je glissai ma main entre tes seins dardant
Des tétons lourds et durs gonflés entre mes doigts
Tandis que mes baisers fouinaient ta gorge blanche
Que tes cuisses s'ouvraient au branl'-bas de combat.
Pour mieux frotter mon vît, tu remuais tes hanches.
© Thierry Bonneyrat
2013
2013