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Un homme avait un âne un vaillant compagnon
Qui transportait pour lui ballots et baluchons
Il avait une femme à la vulve opulente
Qui rêvait d’accueillir un gros sexe en sa fente

Le mari par malheur était très mal monté
Son sexe était petit, mollasson, maigrelet
Il pendait tristement sur les couilles trop vides
Et ne pouvait combler une compagne avide

La femelle frustrée se levait dans la nuit
S’en allait presque nue au fond de l’écurie
Prendre le bât de l’âne pour s’en couvrir le dos
Et tendre vers la bête un cul ouvert et chaud

L’âne alors se mettait à bander puissamment
Vers la belle accroupie qui de ses doigts savants
Guidait le bel engin vers sa chatte en ivresse
Et l’engloutissait mieux que n’eût fait une ânesse

Ah le plaisir sans nom de ce pénis énorme
L’étrange volupté du con qui se déforme
Le tremblement du corps, utérus, épiderme
Le tsunami brûlant de la marée de sperme

Son mari les surprend, veut tuer le coupable
Tu es ingrat dit-elle, ce fidèle animal
Accomplit les travaux dont tu n’es pas capable
Il porte les fardeaux et il baise ta femme
© Christian Wacrenier