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Branlette

 

Prendre ma pine dans ta main
Faire lentement des va et viens
Laisser glisser de bas en haut
Tes doigts divins contre ma peau,
Pour dégager de son fourreau
Le gland gros comme un bigarreau
En le tenant comme un poulbot
Qui pisse dans le caniveau !

Branler ma queue à pleine main
La remuer avec entrain
Agiter le bout de mon sexe
Entre ton pouce et ton index
Pour faire grimper entre mes reins
Ce plaisir qui fait tant de bien.
Et fait bander le fier serin
Autant qu’un superbe gourdin !

Faire coulisser avec ta main
Le prépuce du bel engin
Et câliner de l’autre main
Les rondes boules de mes couilles
Tandis que ton index fouille
Ce petit coin  entre mes fesses
Où je perçois tant d’allégresse
En l’étroitesse où il progresse !

Surtout ne pas changer de main
Car je sens que le moment vient
Vu que j’ai les bourses bien pleines
Et beaucoup de sang dans les veines.
Ce doigt vicieux dans  ma rondelle
Boute le feu à ma cervelle
Et le p’tit trou où il s’insère
Comme un étau sur lui se serre !

Serrer ma pine avec ta main
Le jus arrive à fond de train
J’ai l’entrecuisse qui frissonne
Ho ! Que la sensation est  bonne
Quand mes roustons gonflés à bloc
Qui sous ma pine s’entrechoquent
Laissent échapper leur contenu
Au bout de ma verge tendue !

Plaquer mon sexe avec ta main
Bien à fond contre mon bassin
Pour faire jaillir le chaud butin
Sur le cuivre de tes tétins
Bandés comme des petits nains,
En ciselant des serpentins
Argentés, sur le parchemin
De la peau douce de tes seins !

Guider mon sexe avec ta main
Entre tes lèvres de carmin
Pour consommer tout le trop plein
Du joli membre turgescent
Qui, dans ta bouche où il descend
Offre à tes joues toutes en rondeur
Le flot bouillant de sa liqueur
Que tu savoures avec bonheur !

Presser mes bourses entre tes mains
Comme on presse de gros raisins
Pour en extraire tout le bon vin,
Et siroter jusqu’à la fin
La dernière goutte de tanin
Pour se soûler du jus divin !

Puis câliner avec tes mains
Mon boute-joie qui plein de larmes
Tout doucement rabat son charme
Pour s’endormir entre tes seins
Doux comme un chat qui n’a plus faim
........................................................
Et puis ne plus penser à rien !
© Jeanmie
2009