Partager |

À Émilienne D’Alençon

Raoul Ponchon

Émilienne,
Toi qui me montres tes deux cuisses,
Souffre que je te montre aussi les miennes
C'est le moins que faire je puisse
Car j'en ai trois,
Vu qu'il m'en pousse une troisième
Sitôt que je te vois,
Beauté que j'aime.

 

 

in La muse gaillarde (Ed. Rieder, 1939)