Le texte que vous lisez en ce moment
Contient des descriptions explicites
D’activités sexuelles, comprenant entre autres
Mais pas exclusivement
Des pénétrations vaginales, anales,
Ainsi que des relations orogénitales
Entre des hommes qui rougissent et soupirent
En manipulant leur verges rigides
Et des femmes au regard lubrique
Qui lèchent langoureusement leurs lèvres
Et caressent leurs seins en tremblant d’excitation
Tout en s’embrassant entre elles avec passion
Tout en caressant du bout des doigts
La fente éclose de leur voisine
Préparant ainsi leur sexe humide
À l’intromission des queues congestionnées
Luisantes de salive et de sueur
Des mâles ivres d’amour et de fornication
Que les parents soient avertis
On y retrouve aussi des mises en scène
Crues, vulgaires, au goût douteux
Et même franchement misogynes
Comme celle de la jeune femme en tailleur Chanel
Qui s’agenouille sur le plancher crasseux des toilettes
Devant un mécanicien rencontré cinq minutes auparavant
Et qui frotte son nez contre le polyester
De sa braguette odorante de mécanicien
Avant qu’il ne fasse glisser sa fermeture éclair
Et lui enfonce dans la gorge sa pine rancie
En s’accrochant à ses cheveux et en grognant
Avant gicler son foutre comme fruit trop mûr
Si vous, vos enfants ou votre confesseur
Êtes choqués par des mots décrivant
La couleur des zébrures sur les fesses rebondies
Et fustigées d’un garçon déculotté
Par trois grand-mères sanglées de cuir
Aux seins plissés pendant jusqu’à leur sexe
Ou encore par des phrases évoquant
Le délicieux tourment d’une nubile nymphette
Sauvagement montée par un grand alezan
Dont la bite longue comme le bras
Est guidée vers sa petite moniche
Par la main tremblante de sa propre maman
Alors nous vous prions, pour éviter tout traumatisme
De cesser immédiatement votre lecture
Avant d’atteindre la dernière ligne
Contient des descriptions explicites
D’activités sexuelles, comprenant entre autres
Mais pas exclusivement
Des pénétrations vaginales, anales,
Ainsi que des relations orogénitales
Entre des hommes qui rougissent et soupirent
En manipulant leur verges rigides
Et des femmes au regard lubrique
Qui lèchent langoureusement leurs lèvres
Et caressent leurs seins en tremblant d’excitation
Tout en s’embrassant entre elles avec passion
Tout en caressant du bout des doigts
La fente éclose de leur voisine
Préparant ainsi leur sexe humide
À l’intromission des queues congestionnées
Luisantes de salive et de sueur
Des mâles ivres d’amour et de fornication
Que les parents soient avertis
On y retrouve aussi des mises en scène
Crues, vulgaires, au goût douteux
Et même franchement misogynes
Comme celle de la jeune femme en tailleur Chanel
Qui s’agenouille sur le plancher crasseux des toilettes
Devant un mécanicien rencontré cinq minutes auparavant
Et qui frotte son nez contre le polyester
De sa braguette odorante de mécanicien
Avant qu’il ne fasse glisser sa fermeture éclair
Et lui enfonce dans la gorge sa pine rancie
En s’accrochant à ses cheveux et en grognant
Avant gicler son foutre comme fruit trop mûr
Si vous, vos enfants ou votre confesseur
Êtes choqués par des mots décrivant
La couleur des zébrures sur les fesses rebondies
Et fustigées d’un garçon déculotté
Par trois grand-mères sanglées de cuir
Aux seins plissés pendant jusqu’à leur sexe
Ou encore par des phrases évoquant
Le délicieux tourment d’une nubile nymphette
Sauvagement montée par un grand alezan
Dont la bite longue comme le bras
Est guidée vers sa petite moniche
Par la main tremblante de sa propre maman
Alors nous vous prions, pour éviter tout traumatisme
De cesser immédiatement votre lecture
Avant d’atteindre la dernière ligne
© Anne Archet
2006
2006